Résumé : Apolline va à l'église pour aller voir le prêtre.

Le cadre historique :entre 1940 et 1950, France.
Apolline s'ennuyait, le mercredi, les cours étaient deux fois plus insupportable et il fallait redoubler les efforts afin de maintenir éveillé et de ne pas succomber à l'appel du sommeil.
Elle y assister cependant à ces cours, n'ayant guère d'autre choix, surtout si elle ne voulait pas subir les réactions plutôt atrabilaire de ses parents.
Il y avait mieux que la philosophie, en terme de matière, mais elle y passait quand même du bon temps : les auteurs et autre philosophes avaient, pour dire, des concepts assez ridicule, voir malsain, qui pourrais prêter au rire.
Il faut dire que le professeur était, malgré lui, un sujet aux moqueries. Cependant, c’était plus des taquineries que des moqueries, sans une once de méchanceté derrière.
Le mercredi était aussi le jour où elle allait à l'église pour se confesser.
C'était assez bien étrange, car la plupart des personnes allaient se confesser le dimanche, mais pour une question de temps et d'ennui, elle préférerait le faire le mercredi. Munie de son vélo, elle fonça vers l’église, qui se situait à côté d’une forêt.
Aller à l’église était toujours intéressant. Bien sûr, Apolline avait d’autre centre d’intérêt.
L’église se situait un peu à l’extérieur du village, ce qui fessait un peu de route pour Apolline, mais ça ne la dérangeait pas. Jamais.
Peu importe la météo ou l’heure, elle prendrait son vélo pour aller confesser. La confession n’était pas vraiment l’objectif premier d’Apolline. Quand elle va à l’église, c’était pour voir le prêtre : il était jeune encore, les cheveux claire et plat, toujours bien coiffés. Ses vêtements étaient toujours bien repassés... Il rayonnait de bienveillance et de gentillesse, on pouvait le lire dans ses yeux. En parlant de ses yeux, ils étaient la source de fascination d’Apolline, elle n’avait jamais vue des yeux aussi clairs de toute sa vie.
Il avait les yeux d’un Saint.
Étant arrivée à l’église et, après avoir attaché son vélo, elle entra dans le dite église et pris place sur les bancs des derniers rangs.
D’un coup d’œil, elle remarqua que la salle était assez vide, à l’exception de quelques vieilles femmes et fermiers seuls traînaient par-là, donnant au grand hall un aspect fermé, voir secret. Elle sortit, de son pull, son chapelet, qui était toujours autour de son cou, tenant la croix dans ces deux mains, qu’elle rapporta devant son menton, mimiquant le geste de prière.
Tout passer dans sa tête, sauf la formulation des prières.
Le rideau s’ouvrit soudainement et une assez veille femme y en sortie. Ses longs cheveux blancs flottaient derrière elle comme le voile d’une mariée. Ses mains étaient entrelacées devant elle. Elle se déplaçait en basculant vers l’avant et vers l’arrière à chaque pas. Cela ressemblait (très fortement) au mouvement de prière que les Juifs effectuer lors de leur liturgie.
Apolline serra sa mâchoire et baissa les yeux pour ne pas éclater de rire, ce n’était pas le genre d’attitude à avoir dans un lieux sacré, tel qu’une église.
Après avoir attendu pendant quelques minutes (qui semblait être des heures pour Apolline) et que quelques personnes se sont confessés, la nef était complètement vide. Malgré les couleurs vives des vitraux, la salle restait froide.
Le regard de la statue de la vierge Marie lui paraissait comme suspicieux, voir critique, comme si elle savait en avance son projet. Cela contrastait avec la mine innocente de l’enfant Jésus des tableaux, son petit sourire en coin approuvait l’attention malicieuse d’Apolline.
Balayant son regard dans toute la nef, elle vérifia si une autre âme qu’elle était présente. Ne voyant personne, elle se levât, et marcha vers le confessionnal. Elle tira le rideau et pris place sur le prie-Dieu.
- Attendez, mon Père, ne partez pas, je vous en prie, je veux me confesser, annonça Apolline d’une voix calme.
Le prêtre répondit de prendre place et elle commença a se confesser. À vrai dire, elle ne se confesser pas vraiment, elle lui disait tout ce qui passait par la tête, un mélange de vérité, et de mensonge. Beaucoup de mensonges. Pendant que le prêtre parlait lui parlait du «Pardon Divin», elle releva sa jambe en mettant le pied sur le support des genoux, afin que ses jambes soient écartées. Elle releva sa jupe plissée et commença a se toucher à travers le tissu de sa culotte.
La voix bienveillante et chaleureuse du prêtre lui fit monter en elle des désirs impurs, sales : elle voulait se faire tringler par lui, ce père divin et propre.
Elle se demandait si il était vierge, ou si, plus jeune, il avait déjà goûté aux plaisir charnels... Elle demandait s’il avait déjà utilisé sa verge, s’il avait déjà fourré dans un vagin ou bien même un cul. S’il avait déjà vu son propre foutre...
Toutes ces questions l’excitait encore plus, elle ne pouvait plus se retenir.
Elle interrompit le prêtre dans son discours en toquant sur la petite fenêtre grillée, collant à presque son visage. Elle chuchota, sachant que le prêtre était tout près :
- Père ! Pardonnez-moi, mais j’ai des pensées impures !
Surpris, le prêtre lui demanda qu’elle s’explique, en toute innocence, espérant l’aider dans sa quête de rédemption.
- Père, presque tous les soir, je me touche. Je pense à Dieu et Jésus, à chaque fois que je fais ça.
Je suis en recherche de plaisir et de plaisance. Je suis excitée à chaque fois que je vous vois. Après la messe ou la confession, je rentre chez moi pour me toucher. Des fois, je prends mon crucifix pour le frotter contre mon vagin. Je vous imagine, me prendre et darder avec votre verge, violemment, brutalement.
J’imagine votre foutre dégoulinant... Je vous veux, mon Père !
L’autre côté restait silencieux.
- Mais je ne vous ai pas dit le plus horrible, mon Père. C’est que... je me touche en ce moment-même. En fait, je me touche depuis que j’ai commencé à vous parler. Apolline se retenait d’éclater de rire, le prêtre était sans doute rouge de gêne.
Pour faire encore plus, elle commença à gémir doucement, elle continuait de chuchoter le nom de Dieu en vain.
Cela dura un moment, Apolline commençait à trouver ça ennuyant, elle se leva et alla devant le compartiment central du confessionnal. Elle s’y pencha discrètement pour vérifier si le prêtre ne se toucher pas lui aussi, puis martela de trois grand coups la porte de l’armoire, en s’exclamant :
- Eh bien ! Prêtre, que faites-vous ?! Vous vous touchez, vous aussi ?
L’armoire restait silencieuse.
- Aucune réponse ? Alors, j’ouvre !
La porte du confessionnal s’ouvrit brutalement, d’un seul coup. Apolline vit le prêtre, tête baissée, ses mains tenant un chapelet, posées sur ses genoux. Apolline l’entendait murmurer des prières de pardon et comme quoi il était «dégoûtant». Elle était tentée de le moquer, mais se reteint.
Elle s’avança jusqu’à qu’elle soit tout près du prêtre, posa son pied sur le siège et releva sa jupe, d’une main. De l’autre, elle continua a se toucher. Le visage du pauvre homme était près, le niveau de son regard correspondait au niveau de la vulve d’Apolline. Son regard était cependant dirigé par terre, c’était comme si il se concentrait pour ne pas regarder. Apolline remarqua qu‘il était rouge (comme elle le pensée) et que son front était ruisselant de sueur.
- Regarder, prêtre, regarder l’effet que vous avez sur moi ! Mmh... ah, prêtre, regarder, comment je suis horriblement mouillée... ... Mais regarder !
Le prêtre lança un coup d’œil discret avant de rapidement regarder ailleurs. Il se décomposait devant Apolline et elle adorait ça.
Elle s’écarta et s’agenouilla, avant de relever sa soutane et d’en défaire quelques boutons. Elle déboutonna son pantalon. Un sourire apparut sur son visage, elle n’avait pas besoin d’enlever son caleçon pour voir qu’il bandait déjà. Le prêtre avait peut-être sa tête tournée sur le coté, mais son regard était pose sur Apolline. Elle releva sa tête, au même moment, le prêtre détourna son regard, pour ne pas rencontrer ses yeux.
Elle pouvait voir qu’il se mordait les lèvres, et que ses yeux était à présent fermés, ses joues maigres étaient teintées de rouge, quelques mèches blondes collaient à son front.
- Vous... vous devez me prendre pour– pour un hypocrite, un misérable..., dit-il d’une voix basse, presque comme un murmure.
Apolline était comme quoi surprise de l’entendre, pas qu’elle voulait qu’il reste silencieux.
- Non, pas vraiment, essaya de rassurer Apolline, Dites, vous êtes vraiment tendu, vous le savez ?
Le prêtre la regarda avec des yeux incrédules, sa bouche s’ouvrit mais se referma rapidement, comme pour ne pas dire de bêtise.
- Comment vous vous appelez, de toute façon ?
- James... James Théodorin-
- Oui, oui, je n’ai pas vraiment besoin de savoir toute votre vie, prêtre, coupa Apolline, d’un ton odieux.
Sur ces mots, elle sortit du caleçon la verge du prêtre. Elle était longue, dure et rose, ce qui accompagnait avec la peau plutôt pale de James. Du bout s’échappait du liquide pré-éjaculatoire. Apolline pris en main cette monstruosité et commença à effectuer des mouvements de haut en bas.
James pencha sa tête en arrière, laissant échapper des sifflements. Apolline arrêta ses gestes pour les remplacer par sa langue. Elle la passa partout : près de la base (ou son nez était chatouillé par ses poils blonds) du long jusqu’au gland rose, la seule partie ou elle mit entièrement dans la bouche.
La réaction du prêtre changea, de son silence, des gémissements venait de sa bouche.
Ses yeux n’étaient plus au ciel, mais regardaient directement Apolline, plus spécialement sa bouche. Des bruits de succion se fessait entendre, se rajouter à ça les gémissements étouffés et la respiration haletante de James.
Apolline commença à fredonner, comme pour provoquer James encore plus. Ce qui a apparemment marché, car il tenta de repousser Apolline en mettant sa main sur sa tête, mais elle la repoussa par un tape brusque sur son poignée. Apolline fixa directement James, il avait l’air terrorisé, de peur que quelqu’un pouvait les surprendre a tout moment. Ou bien parce qu’il se fessait sucer dans la maison de Dieu ?
Il avait sûrement peur de la colère divine du Tout Puissant, ce qui était compréhensible.
Apolline se releva et ôta sa jupe, ainsi que sa culotte. James la regarda avec de grands yeux.
- Quoi ? Me ne regardez pas comme ça, ça serait dommage si on finissait comme ça, non ?
Elle se positionna sur les cuisses de James, en sorte qu’elle était assise sur lui, sa vulve tout près de sa verge.
- Dites-moi, Père James, avez-vous déjà baiser quelqu’un ?
- N-n-non, enfin...
- Vous êtes déjà touché alors ? Votre verge, elle a déjà servi, non ?
Il secoua la tête, des larmes commençaient à couler lentement sur ses joues.
- Non ? Même pas ? C’est intéressant..., déclara Apolline, tout en essayant de mettre la queue du prêtre à l’intérieur d’elle.
Elle senti des mains se poser sur ses épaules. Elle regarda le prêtre, qui la suppliait du regard. Il fesait de la peine, on aurait dit un chien battu. Ses lèvres bougeaient, mais aucun son n’en sortit.
- Oh mais, James, mon Père, pourquoi pleurez-vous ? Ne pleurez pas, profitez s’en, ce n’est pas tous les jours que pourrez goûter le corps féminin.
Elle prit le visage du prêtre entre ses mains et l’embrassa. Ce n’était pas brusque, ni violent, mais elle l’embrassa avec toute la douceur qu’elle pouvait rassembler. Ce baiser était très chaste, très pure. Il était dénué de toute sensualité (ironique, jugeant de la situation). C’était le même genre de baiser que des enfants naïf auraient eu.
Apolline continua de l’embrasser, laissant des baisers sur ses joues, sa tempe, le coin de sa mâchoire et dans son cou. Il sentait l’eau de Cologne, ce qui avait un coté rassurant. Cela rappela à Apolline sa grand-mère, qui, quand elle était plus jeune, lui en mettait tous les soirs avant d’aller la mettre au lit.
D’une main, elle lui caressa ses cheveux, doux et fins, et, de l’autre, lui essuya ses larmes, qui coulaient encore... à moins que c’était de la sueur.
- Mon Père, lui susurra Apolline dans le creux de l’oreille, mon Père, James, je vous aime, plus que Dieu et tous les autres saints. Aimez-moi en retour, je vous supplie...
Ses lèvres continuaient de l’embrasser, sa main guida la queue toujours dure du prêtre dans son trou humide et baveuse, et elle l’y introduit. Tous deux frissonnaient de plaisir.
James commençait à trembler, ses mains timides et hésitantes saisissaient la taille d’Apolline. Elle ne savait pas c’était pour la baiser ou pour essayer de l’arrêter, la dernière proposition était la plus probable. Ce n’est pas vraiment ça qui aller l’arrêter. Elle continua le chevaucher, avec des mouvements de viens et va.
- Ugh, Dieu... la débaptisation,... le Jugement Divin, sans fin,... la pendaison...
Un nouveau flot de larmes tombaient des yeux du prêtre, il murmurait, sans doute, les conséquences qu’il imaginait si on les surprenait. C’est vrai que, faire ce genre d’acte dans la maison de Dieu, serait vu comme indécent.
- La mort... Père, Mère, pardonnez-moi, je vous en prie !
- Mais vous allez arrêter de parler pour rien, oui ? Si vous voulez parler, dites mon prénom ou alors, taisez-vous !
Elle redoubla sa vitesse, elle voulait sentir toute la longueur de sa verge. Des bruits liquides vulgaires provenaient de leur acte sexuel. Le changement d’allure provoqua une exhalation du plaisir chez le prêtre, un semblant de béatitude se lisait sur son visage, des plaintes sortait de sa bouche.
C’était exquis, Apolline n’avait jamais vu un homme si honteux d’éprouver du plaisir.
Elle posa sa tête sur son épaule et se retenait de gémir, contrairement au prêtre, dont les pleurnichements devenaient de plus en plus fort et moins gêné.
D’un coup, Apolline s’arrêta. Elle sentie les mains de James serrer ses hanches, des bruits plaintifs s’échapperaient de la bouche de James. Apolline se releva et son regard croisa celui du prêtre : son regard était honteux, il suppliait le pardon de Dieu. Ses yeux bleus bénins, contrastant avec la rougeur de ses joues, la questionnaient.
- Eh bien ? Vous ne croyez quand même pas que j’allais faire tout le travail, tout de même ? James ! Dieu et la vie ne vous a donc rien appris ? Si vous voulez obtenir quelque chose, vous devez travailler ! Aller !
James la regardait, comme si la fille qui se tenait devant lui était extraterrestre, cette situation était juste surréelle. Il balbutia, il ne se savait où poser son regard, ses mains tremblantes n’osaient pas explorer le corps d’Apolline. Il essaya de bouger, mais à chaque fois qu’il lever sa verge, de violents spasmes traversaient son corps. Apolline n’était pas sûre si il essayait de la repousser ou si il n’avait sérieusement jamais fait l’amour avant.
- Mon Dieu, mon Père, vous baisez affreusement mal ! Laisser tomber, je terminerais moi-même, déclara Apolline, boudant faussement.
Entre quelques sanglots, le prêtre implora :
- A-Apolline, je vous en supplie, arrêter,... Je-Si vous partez maintenant, je vous jure que je ne dirais rien... À personne, je le dirais. Je prierais pour votre âme, je prierai-...
- Oh James, arrêtez de raconter n’importe quoi, je sais que vous voulez finir en moi, et je le veux aussi.
Et avec ça, Apolline repris de plus belle avec ses mouvements de va et vient. Cela dura pendant un instant avant qu’Apolline sentie en elle un plaisir montant.
Ces mouvements de haut en bas devenait de plus en plus vite, de plus en plus bestiale, frénétique. Le plaisir grandissant devenait tellement agréable que le prêtre s’y adonner aux mouvements (du moins, il essaya). Tous deux s’abandonnaient aux plaisirs de la chair. Le climax arriva et le pauvre prêtre cracha son foutre dans Apolline.
Avant de jouir, Apolline serra le cou du prêtre : elle avait appris durant des cours d’éducation sexuelle, faite pendant les heures de SVT (et en écoutant les bavardages de ses camarades), que les hommes, lors de la pendaison, bandaient. Logique, puisque le sang, alors concentré dans la tête, doit circuler dans une autre partie du corps.
Un élément qu’Apolline remarqua c'est qu’au moment de la jouissance totale, le prêtre la pris dans ses bras et la serra fort, comme pour ne pas la perdre. Elle s’affala un moment sur le prêtre et entendit de petit sanglots et de doux hoquets. Elle se redressa pour voir le prêtre pleurer de plus belle, une main sur la tête d’Apolline.
- Apolline, mon enfant,... Jésus, je vous demande Pardon, toi et le Tout Puissant, je vous en supplie, ne me damner pas, sniff... Marie ! Jésus ! Joseph !
Et il répéta ces trois prénoms iconiques encore et encore.
Apolline l’embrassa longuement, même si le prêtre ne retourner pas son affection.
Elle le regarda et se leva, elle eut un léger spasme quand elle sentit la verge, qui était profondément en elle, ainsi que l’abondance de foutre blanc, collant et épais, en sortir. Elle s’accroupit devant sa jupe pour y sortir un mouchoir en tissu de la poche.
Ses cuisses et son entre jambes furent nettoyés en premier, puis vint le tour du prêtre. Pendant qu’elle nettoyer la souillure, elle le regarda fixement. Lui, tête baissée, une main tenant son chapelet, se laisser faire, totalement vaincu.
Elle l’embrassa une dernière fois et se rhabilla rapidement.
Elle quitta les lieux, non sans avoir adressé un dernier regard, puis franchit les portes de l’église pour aller rejoindre son vélo, un sourire radieux en coin, presque fière.